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Un Tour du Monde fait avec de petits moyens mais avec beaucoup de fun

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Le parc national de Cahuita

le singe Capucin Mr lŽIguane Hamac sous les cocotiers au rendez-vous les vieux à l'arrière du 4X4 et les jeunes devant Moi et ma mère dans la mer des Caraibes

le singe Capucin
le singe Capucin 

Dimanche 14 Octobre

 

 

  Ce matin, le grand soleil nous fait oublier que nous sommes en pleine saison verte (des pluies). Journée propice à la balade, donc nous sortons les machettes pour défricher, les habits de crocodile Dundee et l’anti-moustiques pour affronter la jungle du parc national. Evidemment, comme c’est le parc le plus visité du , les sentiers sont larges et balisés. Déçus, les parents rangent les machettes puis nous commençons la balade. Après 5, 10 minutes de marche, la magie de la jungle opère déjà car nous rencontrons une troupe de singes hurleurs. Ils sont tout noirs et les males poussent des cris puissants. Nous sommes supers contents, observer des animaux sauvages et exotiques de si près est vraiment le fun.

 

 

  Le sentier est dans la jungle mais il longe la plage de très près. Nous continuons sur notre lancée et la chance est au rendez-vous car nous voyons aussi des petits crabes bleus, des jolis papillons colorés et un raton laveur dans la mangrove. La jungle est sublime avec des lianes, des fleurs rouges et plein d’espèces d’arbres tropicaux. Encore plus loin, une autre troupe de singes, cette fois-ci des capucins. Ils sont un peu agressifs, ils montrent les crocs et lancent une branche à ma mère! Des gens nous montrent un petit serpent jaune, très venimeux qui dort sur une feuille. Nous voyons aussi de nombreux lézards et un iguane. Au bout de 3.5 km de marche, nous arrivons a Punta Cahuita. Nous en profitons pour faire une petite baignade rafraichissante. Non loin, il y à un spot de snorkelling. Ben et moi nous y rendons à la nage, mais c’est assez décevant par rapport a ce qu’on à déjà vu ailleurs.

 

  Le moment est venu de faire demi tour car nous avons faim et pas de pique-nique. Pour midi,ont attends une heure au resto avnt d’êtres servis, les Costaricains (ou Ticos, leur surnom) ne sont pas des gens stressés! Ensuite, nous passons le reste de l’après-midi à la plage, où Benjamín donne des cours de snorkelling aux parents. Bilan, les femmes sont les meilleures élèves tandis que les hommes sont des cancres.

 

  Une superbe journée qui se termine autour d’un apéro et d’un repas chez Miss Edith qui cuisine très bien, aidée par son cuisinier rastaman qui danse en cuisine (tient ça me rapelle quelqu’un à l’ aéroport de Lyon, ça!)

 

Em et Ben

 

Une journee de merde

La vitre arriere brisee de notre 4X4 Notre hotel calme avant le drame l' aspect pratique, on peut passer les valises par la fenetre Le rire de Juliette cache par la frite

La vitre arriere brisee de notre 4X4
La vitre arriere brisee de notre 4X4 

 Lundi 15 octobre

 4h du matin: Nos parents ont l'impression d'entendre des coups de feu. N'y croyant pas, ils se rendorment.

 6h du matin: Fernando, le gardien, vient nous voir pour nous dire que notre rutilant 4x4( peut-être trop...) à été braqué pendant la nuit et que 5 coups de feu ont étés tirés, dont deux balles ont atteint le voleur à la jambe. Heureusement que Daniel n'a pas dormi dans le hamac cette nuit!

 6h05: Tout le monde sort dehors pour constater les dégats. Verdict: seulement la vitre arrière de fracturée et rien de volé. Des traces de sang maculent la pelouse. Réveil un peu brutal, non?

 6h07: Benjamin pars faire une déposition à la police avec Fernando. Les circonstances excactes resteront floues, qui à tiré? Fernando ou la police? On a l'impression que c'est Fernando, mais il est en parfaite libertée, c'est qu'ils ont le droit de tirer a vue ici? Rassurant!

 7h02: N'y tentant plus, je pars au poste de police venir fourrer mon nez pour savoir ce qui se passe.

 7h06: Benjamin est content que je vienne car il commençait à penser qu'on l'avait oublié.

 7h07: L'officier de police est très lent, il vient juste de commencer la déposition de Benjamin. On est tombé sur le nigaud de service, les autres policiers sont torses nus tandis que lui a l'uniforme boutonné jusqu'au cou et écrit un mot à la minute.

 7h15: Le cop veut la traduction en espagnol du nom de l'hotel. Fernando est découragé.

 7h40: Enfin tout est mis sur papier, nous repartons avec une copie pour la compagnie de location. Nous espérons n'avoir rien a payer.

 8h09: Nettoyage de la voiture et ramassage du bordel dans la cabinas 6.

 8h45: On file une petit billet de banque a Fernando, pour nous avoir aidés et/ou tiré une balle dans les pattes du gars qui à voulu nous braquer notre 4x4 chéri (euh pas tant que ça en fait, on est trop mal assis!).

 9h01: Direction San José pour changer de voiture. Il fait déjà chaud, heureusement que j'ai la ventil au max, comprenez plus de vitre et vent à 100 km à l'heure dans la face.
 
 13h30: Arrêt dans une cantine de truckers pour manger. On est sur le pied d'alerte, prêts a courir au moindre individu suspect.

 14h19: Arrivée à l'agence de location. Nous découvrons l'aspect pratique de ne pas avoir de vitre à l'arrière, on peut passer les valises par la fenêtre. Bien sûr la vitre n'est pas prise en charge, 170$ US. Bang, dans la face! On va oublier les langoustes au BBQ!!!
 
 14h51: Nous repartons à bord de notre nouveau char en direction de Aljuela à seulement quelques km d'ici.

 15h36: Installation dans un nouveau palace. Deux chambres, une de trois et une de cinq. Nos parents trouvent les chambres un peu rudimentaires depuis le début, nous les trouvons tout à fait convenables. On a eu pire, ici il n'y à qu'un (ou deux...)cafard(s) par chambre...

 20h47: On oublie cette journée qui a mal commencé avec un bon apéro et un poulet rôti.

 21h02: C'est le drame! En mangeant son poulet, ma mère se casse un dent! Manque de chance, c'est une du devant. Elle lâche: c'est une journée de merde! Fou rire général. On l'imagine assitôt en vieille alcoolo qui perd ses dents!

 21h13: Ma mère decouvre les joies de rire à la japonnaise, la main devant la bouche. Hi,hi,hi!

 23h30: Finalement la journée est finie. Dans leurs lit les mères rigolent encore toutes seules.

Em et Ben

 

Une journee dans la vallee centrale

Le cratere du volcan Poas Le Toucan Un papillon La cascade la Paz Belle vue sur la jungle Costa Ricaine

Le cratere du volcan Poas
Le cratere du volcan Poas 

 Mardi 16 octobre


  Nous sommes tous levés à 6h am pour aller visiter le parc du volcan Poas et le parc de Los jardines de la Catarata La Paz car normalement les nuages cachent le volcan dès 10 du matin. Le paysage que l'on voit de la petite route sinueuse est composé de plantations de café et de végétation verte luxuriante. La journée est pluvieuse et brumeuse mais nous espérons tout de même pouvoir apercevoir le volcan ce matin. Une toute petite marche de 500m nous amène du parking au point d'observation du cratère principal. La dernière éruption de ce volcan qui culmine à 2704m s'est produite en 1953 et a laissée un cratère de 1,3km de diamètre et 300m de profondeur. De nos jours, le volcan est actif de façon intermittente et le parc a du être fermé à quelques reprises pour cause d'éruption de cendres ou de bouillonnement à fumée nocive.

  Quand nous arrivons au point d'observation, la vue est totalement bouchée par la brume et les nuages. Nous décidons donc de faire la promenade jusqu'au lagon en attendant que le vent chasse les nuages. Pour nous rendre au lagon, nous devons traverser une forêt très dense, sombre et un peu maléfique. Petite balade entre les branches couvertes de lichens en forme de tunnel qui semblent vouloir nous avaler. Le lagon est un ancien cratère de volcan inactif qui s'est rempli d'eau de pluie au fil des ans. L'eau toujours un peu acide ne laisse survivre que peu de vie. Nous retournons au cratère pour un deuxième essai mais c'est toujours bouché.

  Un guide qui parle anglais prédit à son groupe que ça va se dégager dans les dix minutes car le vent s'est levé. Nous persévérons et là, miracle, la vue se dégage sur le magnifique et immense cratère! On n'y croyait pas! Les mères en sont tellement boulversées qu'elles se mettent à pleurer. Le volcan est calme aujourd'hui mais nous voyons quand même les fumerolles, des petits jets de fumée aux abords du cratère. C'est vraiment une vision de toute beautée et nous restons devant jusqu'à ce que les nuages reviennent cacher la vue. Nous repartons ravis d'avoir de la chance.

  Nous nous dirigeons ensuite vers le parc La Paz. Comme c'est l'heure du repas, nous mangeons au resto a l'entrée du parc puis nous attaquons la visite. Nous venons pour les chutes mais il y un plus, pleins d'animaux. En premier il y à une grande volière avec des perroquets magnifiques et le but ultime du voyage au Costa Rica: Sam le Toucan. Il y en à plusieurs et nous sommes émerveillés de voir ces si belles couleurs du bec et du plumage. Ensuite il y à les papillons en liberté dont certains qui sortent de leur cocon, les petits colibris qui viennent butiner aux abreuvoirs et un jardin d'orchidées mais sans fleurs à cette periode. Viennent les serpents, les belles petites grenouilles venimeuses cachées sous les feuilles, et la maison ancienne typique du Costa Rica.

  Toute une volée de marches glissantes nous amènent à une série de cascades, toutes plus spectaculaires et belles les unes que les autres. La jungle dans laquelle nous sommes est également très belle. A la fin de la journée, tout le monde est heureux et contents des visites de la journée. En rentrant a Alajuela, un gentil dentiste sauve le sourire de ma mère. Elle peut enfin rire de bon coeur sans avoir l'air d'une sans-abri.

Em et Ben

 

L' arrivée à la villa perdue dans la jungle

Dans notre piscine Notre Villa Un paysan qui nous vend des bananes Les chefs BBQ Miguel nous ouvre des noix de coco

Dans notre piscine
Dans notre piscine 

Mercrdedi 17 octobre

  Départ d'Alajuela en direction de Puntarenas pour prendre le ferry qui nous amènera de l'autre côté de la baie, où se trouve notre villa. Après une heure de bateau, noue débarquons à Paquera, où la saison des pluies est plus marquée que du côté Caraibes. Des ruisseaux se sont formés dans les rues du village où nous testons nos premières traversées et pistes boueuses pleines de trous. En chemin nous achetons des bananes plantains et des goyaves bios à un paysan pour le repas car les provisions sont maigres. Après 45 minutes de route, nous arrivons à l'entrée d'un chemin privé qui indique Villa Bahia Gigante. Une montée de 500 mètres rocailleuse, bossue et en pleine jungle inquiète nos parents de ce que l'on va découvrir à l'autre bout!

  Finalement, nous découvrons bel et bien la villa vue en photo, entourée par un superbe jardin fleuri et une piscine. Miguel, le gardien, nous acceuille et nous fait visiter la maison. La décoration est faite avec goût et nous avons des fleurs fraîches coupées du jardin. Tout le monde s'accorde pour dire que c'est magnifique avec la vue et tout mais c'est vrai qu'on est vraiment isolés. C'est plus pour des hommes d'affaires stressés que pour un jeune homme hyper actif de 27 ans... Nos parents nous offrent de prendre la chambres des maîtres, avec le lit king size et la salle de bain privée, donc après 8 mois d'hôtels pourris, nous n'hésitons pas longtemps. Aussitôt les affaires déballées, nous plongeons tous dans la piscine malgré la pluie qui se met à tomber. Cours de pirouettes et d'aqua gym nous occupent dans l'eau jusqu'à ce qu'il fasse trop froid.

  Le repas du soir est très simple, spaghettis au beurre et à l'ail. On joue les Robinsons ou on ne joue pas!!! Pour le lendemain, Vendredi (ou Miguel) nous apportera du poisson frais.


  Jeudi 18 octobre

  Ce matin, la pluie s'est calmée, nous partons donc en promenade à bord de notre fidèle 4X4. Nous faisons une heure et quart de shaker dans la voiture pour arriver à la "ville" de Cobano. comme c'est la plus grande ville aux alentours, nous en profitons pour poster les cartes et aller sur internet. Nous achetons aussi 4 ananas et un melon d'eau pour survivre encore quelques jours de plus. Mais non, pas que ça, il y à quand même un supermarché pour acheter les denrées essentielles comme le vin et la cerveza!

  Nous continuons notre route jusqu'à Montezuma, petite station balnéaire réputée pour sa marijuana ( inquiètez vous pas, on à pas fait goûter aux parents...) et ses plages accessoirement. Nous mangeons en compagnie de beaux oiseaux bleus puis nous allons faire un tour sur la plage pendant que les mères font du shopping. Le temps file vite et nous devons rentrer avant que la nuit tombe car les flaques et les trous dans le noir doivent êtres durs à gérer.

  Ce soir, repas plus raffiné: le chef Ben nous fait une petite salsa de tomates et poivrons, une salade de concombres et avocats, les grillardins Daniel et Marcel s'occupent de faire griller au BBQ l'espadon, les cuisinières Juliette et Emilie font cuire le riz et les bananes plantains. Odile, la photographe s'occupe d'immortaliser le tout.

Em et Ben
 

 

La pluie sous les palmiers

Dans la jungle de Curu La plage de Santa teresa Les sirenes Marcel contre vents et marées Pub pour le TDM

Dans la jungle de Curu
Dans la jungle de Curu 


  Vendredi 19 octobre

  Dans l'avant-midi, Miguel vient nous ouvrir des noix de coco avec sa machette (la même qui sert à égorger le poulet, bien sûr!). Il y en à deux sortes: les moins mures, où il y à plus d'eau et moins de chair et les plus mures, celles qu'on connaît dans nos épiceries, petites, brunes avec plus de chair et de l'eau plus sucrée. La dernière est extraite d'une coque plus grosse que Miguel sort en 3 coups de machette. Très bon et typique!

  Dans l'après-midi c'est le tournage de l'interview choc de Georgette Duboeuf avec tout ce que cela inclut: écriture du scénario, costumes, maquillage, répétitions, fous rires sur le plateau et piqûres d'insectes (hé oui, jungle profonde oblige!).

  Reste de la journée pluvieuse donc fariente, piscine, hamac, etc...

Ben et Em


  Samedi 20 octobre

  Nous profitons de l'accalmie de pluie matinale pour tenter l'excursion à l'isla de Tortugua, pour faire pratiquer les snorkelling aux parents. Mais en arrivant sur place, on nous dit que c'est impossible. Nous nous rabattons donc sur une balade dans la réserve Curu, dans l'espoir de voir encore plus d'animaux. Les sentier sont plus que boueux, des ruisseaux se sont formés dedans! Pendant un bon bout de temps, nous n'apercevons aucun animal excepté des crabes rouges qui habitent dans la mangrove. La jugle profonde comme ici, voilà un excellent endroit pour faire découvrir l'aventure hors des sentiers battus à nos parents! Au bout d'une heure de marche, nous entendons des singes hurleurs au loin. Dix minutes plus tard, nous les voyons enfin, très hauts dans les arbres.

  Des belles lianes qui pendent des arbres nous font nous prendre pour Tarzan et Jane... Nous continuons pour aller voir les singes araignées, en phase de réinsertion dans cette jungle. C'est moins intéressant à voir car ils sont en enclos. Puis soudain, à 15 mètres dans un palmier, nous aperçevons des bestioles inconnues au bataillon. Quand elles s'approchent plus, nous reconnaissons des tamannoirs (mangeurs de fourmis pour vrai!). Il y en à deux, puis cinq ou six suivent. Une espèce de plus à inscrire dans notre registre d'animaux aperçus. Des crocodiles habitent dans la réserve, mais nous n'avons pas la chance d'en voir. Dommage, il me semble que ça aurait fait un peu d'action d'avoir à grimper aux arbres pour s'échapper!!!

  Juste au moment où, Ben le malheureux, prononce les mots: Wow, cool il fait beau ce matin, une grosse averse se déclanche! Le sentier nous ramène vers la plage, où le snorkelling est censé être possible, mais en cette saison des pluies la mer est boueuse et la plage extrêmement sale.

  Pour midi, nous allons manger dans l'un des seuls restos de Paquera puis nous retournons vers la villa. Les routes sont de plus en plus innondées, les maisons aussi d'ailleurs, nous sommes contents d'habiter sur une colline! Le seul inconvénient de cette maison est son éloignement de tout, pour aller au moindre endroit, il faut faire une heure et plus de secouage de voiture. Le titre de route la plus mauvaise du Costa Rica est bien mérité! Le soir, repas à la Française et la soirée qui se termine aux chandelles.


  Dimanche 21 octobre

  Notre mission ce matin, partir le plus tôt possible pour profiter des matinées sans pluies car nous allons sur la côte Pacifique, à environ 2 heures de mauvaise route. Après Paquera, la route est encore plus mauvaise que par chez nous, ce n'est plus le shaker, c'est le mixeur. A certains endroits, l'eau arrive à mi-pneus et revient sur le capot. Ben le guide-chauffeur s'éclate comme un petit fou, les passagers un peu moins... Mais bon, ça fait partie du voyage au Costa Rica en saison verte (joliment rebaptisé pour nous faire venir quand même).

  Nous arrivons tout de même à bon port et nous allons faire une petite balade sur la plage, trop rocheuse pour la baignade avec des vagues énormes. Nous revenons un peu sur nos pas, à Santa Térésa, où les plages sont propices au surf et à la baignade. Tout le monde se jette à l'eau, pour notre premier bain dans le Pacifique. Il y à des belles grosses vagues comme j'aime, l'eau est super bonne (buenas...), et en plus, il fait presque soleil! Quand nous allons manger vers 2h30, il ne pleut toujours pas et quand nous prenons le chemin du retour une heure plus tard non plus. Coudonc, on va finir par se demander si c'est au dessus de notre villa qu'il y à un micro-climat pluvieux! Comme de fait, quand nous arrivons à la villa à 5h, un gros orage se met à tomber...

Em et Ben
 

 

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